Je suis Emmanuelle March. J'habite Bacalan un quartier au nord de Bordeaux. 
Je suis engagée comme citoyenne pour la réappropriation de l'espace public par la végétalisation, entre autre…
Quelques références qui m'ont bien aidé à faire ces fiches, sans oublier divers sites internet de botanique…


La pointeuse botanique
CAUE de l'Essonne, Annabelle Buxton (illustrateur), Gérard Arnal (photographe)
éditions Actes Sud, 2016
La pointeuse botanique ? L’outil magique pour découvrir et apprendre à connaître la nature partout, à la ville comme à la campagne.
Comment identifier les fleurs et les plantes que l’on trouve dans les jardins ou au coin de la rue ? Avec la pointeuse botanique ! Cet outil d’une centaine de cartes permet de trouver le nom de l’espèce en quelques secondes. Chaque carte correspond à une plante et est perforée selon certains critères : la forme des feuilles, la couleur des fleurs, etc. Il suffit d’enfoncer une baguette de mikado dans le trou correspondant à l’un des critères reconnu sur la plante qu’on a sous les yeux, puis de secouer le paquet de cartes : toutes les cartes non concernées tombent au sol. Au bout de trois critères, il ne reste presque plus de choix, il suffit de comparer avec la vraie plante pour avoir la réponse ! Le coffret contient également un livret documentaire, un herbier et un carnet de notes.

Sauvages de ma rue
Programme de science citoyenne : c'est à la fois un projet pédagogique animé par l'association Tela Botanica et un projet scientifique du laboratoire CESCO du MNHN.
Sauvages de ma rue a pour but de permettre aux citadins de reconnaître les espèces végétales qui poussent dans leur environnement immédiat, les plantes qu’ils croisent quotidiennement dans leur rue, autour des pieds d’arbres, sur les trottoirs, dans les pelouses…
https://www.tela-botanica.org/projets/sauvages-de-ma-rue/

http://nicolassoulier.net/
Parce que c’est là que se joue, sans qu’on en soit toujours conscient, une grande partie de la qualité de la vie dans une ville ou un village. Il y a des rues où l’on se sent bien, des rues vivantes - sans forcément être commerçantes - où l’on se dit qu’on aimerait bien habiter et élever nos enfants. Et puis il y a des rues qui, à l’inverse, nous semblent mornes, stériles, désertes, et qui malheureusement sont devenues plutôt la norme dans notre pays. Pourquoi ?
Est-ce inéluctable ? Dans ce livre, fruit de ses 30 années d’expérience d’architecte et d’urbaniste, Nicolas Soulier nous montre que c’est, certes, une histoire de voitures, auxquelles on accorde souvent une place disproportionnée, mais pas uniquement. Il nous montre que c’est avant tout une histoire de vie « spontanée », de cadre qui permet à cette vie spontanée de s’exprimer ; que cela tient souvent à des détails, des petites modifications qui, quand elles sont accumulées, peuvent avoir de grands effets.
En France, la situation paraît souvent bloquée, stérilisée, et nombreux sont ceux qui pensent que si le progrès a détruit les rues, il faut s’y résoudre sans nostalgie. Après avoir effectué un état des lieux de nos blocages franco-français, Nicolas Soulier nous montre que cette situation n’est pas inéluctable et que de nombreux exemples de « reconquête des rues » fleurissent à travers le monde. De ces situations exemplaires, prises en Allemagne, en Hollande, en Suisse, au Danemark, en Angleterre, au Canada, aux USA et au Japon, l’auteur tire des conclusions pratiques et propose des pistes d’action pour « reconquérir nos rues ».


L’herbier, plantes sauvages des villes,
Émilie Vast, éditions MeMo, 2011
Cet herbier est consacré aux plantes qui puisent la force de s’insinuer dans notre espace urbain, dans les joints des caniveaux et des trottoirs, dans les fissures des murs, au pied des arbres, dans les pelouses des parcs, le long des grillages, sur les toits… Ces plantes sauvages des villes peuvent aussi bien être arborescentes que rampantes, florales que graminées, et possèdent, tout autant que leurs cousines des bois, une histoire, un usage, une mythologie. Comme les précédents herbiers, ce livre d’images présente, pour chaque plante, la découpe de sa feuille, de son fruit et de sa graine.

Belles de bitume, Frédérique Soulard
Spectacle botanique instructif et  décalé : La conteuse fait vivre l'esprit des Belles et le public marque leurs noms sur le bitume.
Les contes autour de la naissance des fleurs et de la mythologie des arbres colorent d'imaginaire cette déambulation autour de "La BELLE", décor mobile, qui libère livres, tisanes, peintures.
Frédérique, fait vivre l'esprit des plantes, les donne à vivre, les donne à lire. Elle mime les familles des plantes. Le public, comme à l'école, participe à la leçon de botanique.
Dans la rue chaque plante devient un personnage de conte vivant et la rue devient le théâtre d'un imaginaire végétal. Et l'imaginaire du spectateur se déploie : quelle est cette plante, quelle est sa vie ? Il baptise chaque plante de son nom pertinent, humoristique et poétique.
La trace du nom écrit au sol qui demeure quelques mois enracine nos pas dans notre quotidien et nous rappelle notre lien à la terre. Cet acte favorise le lien social par des échanges. Face au défi qu'est la protection de la planète, la sensibilisation à la biodiversité ainsi que l'attention aux « autres » qui nous entourent, nous concernent tous.
https://www.frederique-soulard-contes.com/belles-de-bitume


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